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MICROSOFT EXPLORE DE NOUVELLES STRATÉGIES POUR SOUTENIR 10000 STARTUPS AFRICAINES

MICROSOFT EXPLORE DE NOUVELLES STRATÉGIES POUR SOUTENIR 10000 STARTUPS AFRICAINES

Pour permettre aux startups africaines de se développer encore plus rapidement, la multinationale Microsoft vient de conclure plusieurs alliances et partenariats qui pourront générer un potentiel financement de 500 millions de dollars au cours des cinq prochaines années.

Pour Microsoft, le marché des startups africaines est suffisamment mature pour devenir l’une des pierres angulaires de l’économie numérique du continent, afin de fournir des solutions pertinentes face aux défis sociétaux en Afrique.

« Les investissements dans l’écosystème africain des startups se développent à un rythme incroyable. Selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), il existe aujourd’hui plus de 640 hubs technologiques actifs à travers toute l’Afrique qui contribuent fortement à accélérer l’innovation et à créer de l’emploi, en particulier auprès des jeunes », précise Wael Elkabbany, Directeur Général de Microsoft Africa Transformation Office.

Lancé il y’a quelques semaines, c’est via l’ATO (Africa Transformation Office) que les startups africaines auront accès au Founders Hub. En effet, le Founders Hub est un centre en libre-service qui fournit aux startups une très large palette de ressources, notamment d’accès à des formations spécifiques, ainsi que de nombreux outils tels que Microsoft Azure et GitHub, et de l’assistance aux entreprises.

Pour accroître considérablement l’impact des startups en Afrique, l’effort de Microsoft sera guidé par une stratégie globale comportant trois domaines clés d’intervention à savoir :

  • Le Founders Hub (qui offrira aux startups la possibilité de vendre leurs produits à des entreprises clientes de Microsoft);
  • Des partenariats avec des startups clés (qui fourniront un soutien dans un ou plusieurs domaines comme l’accès à la technologie, l’accès aux marchés, l’accès aux fonds, l’accès à des outils de renforcement des compétences);
  • Des Partenariats avec des investisseurs en capital-risque

Cette ambition émane de ce que « le marché africain des startups représente encore moins d’un pour cent du total des investissements dans le monde. Il faut donc que cela change», tel que le souligne Wael Elkabbany.